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À Propos de Philippe PIANA

 

 

Mon Atelier se situe dans un village au sud de la Dordogne, dans le Périgord pourpre, le village se nomme Le Fleix (24130)

Implantée à 100m se la rivière "La Dordogne", qui connut longtemps le trafic des gabares, cette petite cité est un village pittoresque très accueillant.

De remarquables constructions du 14ème et 15ème siècles se dressent dans la "rue des canons" face à l'Atelier.

Je vous attends avec plus de 120m2 d'exposition et de nombreuses oeuvres.

VENEZ ME RENDRE VISITE, je reçois, de préférence, sur rendez-vous.

Contactez-moi par email: piana.philippe@wanadoo.fr

C'est également la Région des meilleurs vins de France !!

Réaliste ? Hyperréaliste ? Peintre figuratif comme l’on dit aujourd’hui ? Non !
Rien de tout cela. Du réel, Philippe PIANA ne retient qu’un rêve, un
rêve de réel. La peinture a le charme du silence! Talent sûr de lui, poignant, 
immédiat, virtuosité technique sont mis ici au service,
de la tendresse, de la pudeur, d’une discrétion étrange. 

De chaque toile émane une magie immobile !
Les nus sont nombreux dans cette œuvre ; nus sensuels,
chaleureux, mais si lointains, si « vaporeux » dans leur précision
anatomique ! L’amour de la femme s’allie toujours à une distance
un peu mélancolique, à une tendresse marquée de respect et parfois
d’une discrète compassion. Toutes ces belles filles nues émanent
d’un rêve. « J’ai fait ce rêve étrange et pénétrant… »Onirisme et
douceur, un rien d’amertume. Femmes de rêve qui rappellent des
amours perdus, souriantes ou graves, femmes figées dans un
« instant », mouvantes et pourtant immobiles et, pour tout dire,
imprégnées d’une nostalgie de monde perdu.
 
Maître du trait et de la perspective, usant sans façon de la contre-plongée
chère aux peintres de la renaissance, Philippe PIANA joue avec la
proximité et l’éloignement, l’intimité et la distance.
Peintre figuratif ? Réaliste ? Sûrement pas, une fois encore ! Quelle
« réalité » possèderait ces tableaux quasi monochromes, où le brun, le bleu 
et le blanc se marient, s’effacent, se retrouvent de façon subtile, si subtile,
qu’ils en sont convaincants. Ombre et lumière, précision de la forme
sont bien présentes, mais par un jeu léger, elles ne sont qu’apparences,
outils du rêve.

De cette œuvre de Philippe PIANA, ce qui enchante, ce sont ces belles
filles qui sourient et rêvent, surtout, dans un univers où tout s’atténue
comme une musique venue de très loin.
Ce peintre est d’abord un poète ! Il peint pour dire ! Et ce qu’il dit, avec
discrétion et tendresse est émouvant et beau. Toujours !

L. NARDIN - Historien d’art 


 

Critique de l’Historien d’art L. NARDIN (07/2011)


         A propos d’un peintre: PhilippePIANA Questions et fuites…
Philippe PIANA fait de la vraie peinture: celle qui vous parle! Il joue avec son art, comme l’ont fait durant des siècles, les grands artistes.
Il sait être!
Pourquoi?
Parce que son œuvre, comme toutes celles de la Renaissance au XXème siècle, sans souci des modes grotesques et des délires contemporains, nous questionne.
Philippe PIANA sait «Être»!
Pour ce qui est de la technique picturale, c’est un Maître, un Maître qui sait jouer avec toutes les techniques, parfaitement dominées, bref, un professionnel de la peinture…et qui s’en amuse parfois…ou bien, qui dit des choses qui vont plus loin que ce qu’il est censé représenter.
Il peut être sans façon monochrome, en bleu, «le bleu Piana», en noir et blanc, en brun, ou d’un réalisme parfait dans le jeu des couleurs.
Mais avant tout, c’est la poésie, «Sa» poésie, qui domine son œuvre, issue parfois du temps des peintres d’église, de la renaissance, d’Ingres ou de Monet.
Des paysages de rêve, et pourtant identifiables, tout proches de nos regards; d’adorables nus, qui diffusent une musique interne: celle de l’âme.
Qu’ils soient tout bleus, bruns, ou d’une exactitude réaliste, ces nus nous expriment la beauté des filles, dans une lumière toujours maîtrisée.
Erotiques? Si l’on veut…
Mais ce ne sont pas des objets de désir, ce sont des Êtres de désir.Ces jolies filles sont tremblantes de ce qu’elles nous avouent, ce qui est leur délicat et doux rêve…Désir onirique, jamais obscène, toujours sensible.
Filles de rêve, de leur doux et tendre rêve qui nous parle et nous questionne, timidement, même si un poétique humour vient mettre une tâche rouge sur un ongle, ou sur une pomme à demie croquée qui renvoie au vrai, au merveilleux péché.
Mais toujours, dans les admirables paysages qui les entourent, il y a une porte, une sortie, une fuite, quelque soit le tournant de la route, du petit chemin ou de la rivière.
Rêvons!...

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